À propos de Galia

Galia n’est pas un journal.
Galia n’est pas un parti.
Galia n’est pas une idéologie.

Galia est un sursaut.
Un éclat de lucidité lancé dans la nuit numérique.
Un souffle venu des terres libres, de celles que le temps n’a pas encore soumises.

Ici, pas d’injonctions.
Pas de leçons.
Seulement des éclats : de rire, de colère, de mémoire.

Nous ne prétendons pas sauver le monde.
Nous n’avons ni sponsor, ni maître, ni drapeau à agiter.
Nous sommes les enfants bâtards de la Gaule libre et des rêves brisés de 1984.
Nous écrivons pour ceux qui préfèrent les chemins escarpés aux autoroutes balisées.
Nous créons pour ceux qui savent encore entendre le silence entre deux slogans.

Galia est une invitation.
Pas un ordre.

À penser par toi-même.
À douter avec panache.
À rire, même quand tout s’effondre.


Pourquoi « Galia » ?

Parce qu’avant d’être la France domestiquée,
il y eut la Gaule libre, indocile, irréductible.
Parce qu’avant de se perdre dans les labyrinthes du pouvoir,
l’humain savait se lever pour une idée, pour un feu, pour un rire.
Parce que la mémoire est une arme — et que l’oubli est une défaite.


Galia n’appartient à personne.
Galia est ce qui reste quand il ne reste plus rien.


(Dernière chose : ici, la politesse est une révolte.
Dire « merci » n’est pas une faiblesse, c’est un acte de résistance.)

Galia — mémoire vivante

Galia, mémoire vivante d’un peuple libre.

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